Description
Avant d’aller à Pyongyang, à Shenzhen et à Jérusalem, Guy Delisle a vécu à Québec où, durant trois étés, il a travaillé dans la même usine de pâte et papier que son père. Avec Chroniques de jeunesse, l’auteur revient sur son expérience de gars de shop, dressant un portrait drôle et touchant du milieu ouvrier et de ses années formatrices en tant qu’artiste.
Mentions
- Les libraires conseillent – Sélection de février 2021
- Coup de cœur Renaud-Bray
J’ai beaucoup aimé. […] C’est très touchant, on retrouve l’alter ego de Guy qu’on a suivi à travers [ses autres livres], on a l’impression d’ajouter un chapitre à cette longue histoire.
— Jean-Paul Eid, Plus on est de fous, plus on lit! ,
C’est un très bel album!
— Marie-Louise Arsenault, Plus on est de fous, plus on lit! ,
Aiguillé de son légendaire sens de l’observation, l’artiste replonge dans ses années formatrices dans le roman graphique Chroniques de jeunesse.
— Marie-Lise Rousseau, Métro ,
★★★★★
[…] voilà que le surdoué bédéiste Guy Delisle nous entraîne dans un voyage nostalgique qui nous permettra de revivre avec lui ses années de « gars de shop », alors qu’il travaillait avec son père dans une usine de pâtes et papiers, et d’apprenti dessinateur.
— François Lemay, Le Devoir ,
[…] l’illustrateur québécois Guy Delisle raconte son passage à l’âge adulte dans une nouvelle BD fascinante, Chroniques de jeunesse.
— Marie-France Bornais, Le Journal de Québec ,
Chroniques de jeunesse met en scène une galerie de personnages colorés, soit les ouvriers avec qui Guy Delisle, alors étudiant en arts plastiques, a partagé son quotidien pendant trois étés […] Aujourd’hui, ces ouvriers revivent sous la plume de Delisle, tout comme l’usine, qui est sans conteste le personnage principal du récit. En effet, Guy Delisle n’est pas avare de détails pour raconter le fonctionnement des machines, les tâches répétitives que les employés devaient accomplir, les dangers qui guettaient ces derniers…
— Stéphanie Morin, La Presse ,
Guy Delisle nous fait vivre un voyage dans son passé. […] C’est très réussi, parce c’est aussi les premiers pas de l’artiste vers la BD professionnelle. […] Et les couleurs, fantastiques! […] C’est un très, très, très bel ouvrage.
— Alexandre Courteau, Tellement Courteau ,
Un très bel hommage autant à [l’usine], qu’au bâtiment, un hommage aussi à la production de papier au Québec. […] Un très, très, très bon Guy Delisle!
— Bärbel Reinke, Les matins éphémères, CKRL ,
Guy Delisle y livre non seulement son album le plus personnel en carrière, mais son meilleur.
— Jean-Dominic Leduc, Les libraires ,
Pour les dessins magnifiques, le récit personnel, les personnages attachants, ou les anecdotes amusantes, je vous recommande cette bande dessinée à dévorer.
— Simon Cordeau, Journal Le Nord ,
★★★★
Sans prétention, Guy Delisle nous brosse un portrait de ce qu’il était à la sortie de l’adolescence. Pour terminer, j’aimerais citer les mots du narrateur. Ce dernier, après avoir vu un employé expérimenté ranger un lourd boyau d’un seul mouvement de bras, s’exclame : « C’est beau, l’expérience ! » En refermant l’album, j’ai pensé la même chose.
— François Cloutier, Lettre québécoises ,
J’ai adoré ce livre-là!
— Fred Savard, Cette année-là ,
On y retrouve des planches à la composition fouillée et aux décors travaillés qui caractérisent le minutieux travail de Delisle. L’humour est toujours au rendez-vous, même si quelques pages sont empreintes d’une certaine gravité. Acclamé par la critique, cet ouvrage chaleureux permet de renouer avec un auteur bien aimé du public.
— Lucie Laumonier, Bible urbaine ,
Derrière l’apparente froideur des tonnes de papiers et sous la poussière d’une usine bien connue dans la capitale se cache un récit initiatique des plus touchants.
— William Pépin, Impact Campus ,