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Dans cette quatrième bande dessinée, Catherine Ocelot s’interroge sur les empreintes laissées par les mots, sur ce qui rend malade et ce qui guérit, sur la nature profonde de chaque individu et sur la manière de tendre l’oreille à cette petite voix que l’on tait trop souvent.
Comme des plantes qui s’enlacent dans une serre, les récits de Symptômes s’entrecroisent et s’imbriquent les uns dans les autres pour exposer les liens qui nous unissent, mais aussi la façon dont les relations, qu’elles soient toxiques ou saines, se répercutent sur notre corps et notre esprit. Et si des fils invisibles nous reliaient pour toujours à ceux qui ont joué un rôle dans notre vie ?
La finesse des dialogues et du dessin transmettent aux lectrices et aux lecteurs toutes les émotions et réflexions, tantôt drôles, tantôt poétiques, qui émaillent le livre. Symptômes, un peu à la façon d’un rêve éveillé, explore nos mouvements intérieurs, ce qui nous transforme.
Prix BD des collégiens 2023
Finaliste – prix Bédélys Québec 2023
Finaliste – Prix BD du Salon du livre de Trois-Rivières 2023 (catégorie Adulte)
Les libraires conseillent – Sélection de mars 2022
Coup de cœur – Renaud-Bray
Toujours porté par un cynisme plus drôle que désespérant, par des métaphores poétiques qui donnent des frissons, cet album est incontestablement un des plus forts de l’année.
Catherine Ocelot rappelle brillamment qu’une image vaut mille mots, dessinant des scènes métaphoriques qui, tout en prenant forme dans la simplicité du quotidien, frappent par leur profondeur.
Quelle œuvre magnifique et poétique de Catherine Ocelot! […] Le récit à fleur de peau est porté par de sublimes et évocatrices illustrations aux riches couleurs froides et aux traits délicats.
Une fois de plus Catherine Ocelot nous convie dans son jardin secret […]. Sa conception singulière du monde qui nous entoure émeut et réconcilie avec sa beauté imparfaite. Les magnifiques dessins amplifient le propos et nous transportent dans un univers où les images valent mille mots. Empreint de mélancolie et d’allégresse, voilà une lecture qui vous fera passer par toute une myriade de sentiments.
Des sujets vraiment importants abordés avec poésie, humour, mais aussi une remarquable finesse. J’adore Catherine Ocelot. Ses dessins sont juste incroyables.
Malgré le propos, le récit n’est pas dans la lourdeur. Au contraire, il est empreint de bienveillance. Le ratio est juste entre humour et émotion. Le dessin au stylo bille est tout en douceur […]. Une lecture qui réconforte les peurs du lecteur et normalise les maux du corps et de l’âme.
La bédéiste Catherine Ocelot poursuit son exploration de l’âme humaine avec Symptômes, un quatrième album tendre et réconfortant tricoté avec les fils ténus qui nous relient les uns aux autres.
La façon qu’a l’autrice de parler de notre santé mentale collective est empreinte de tendresse et de bienveillance. D’autres thèmes sont abordés en corollaire, comme la maladie physique, les relations toxiques et les fils qui nous relient, le tout avec un trait de crayon d’une grande finesse, doublé d’une plume poétique.
[A]vec poésie et finesse, autant dans son trait de crayon que dans son écriture, Catherine Ocelot touche à beaucoup de nos craintes philosophiques lorsqu’il est question de notre rapport à notre santé. Qui est beaucoup plus complexe qu’une simple absence de maladie. ★★★★
C’est d’une grande poésie!
Dans Symptômes, sa plus récente parution et à notre avis sa meilleure, la bédéiste Catherine Ocelot épouse les contours d’une question protéiforme: «Qu’est-ce qui nous guérit et nous rend malades?» Et elle le fait avec une exceptionnelle finesse dans le trait et une profondeur dans la réflexion. Grâce à ses personnages attachants dont les dialogues sont tout à fait savoureux, Ocelot part de diverses situations intimes pour ouvrir à des constats universels. Entre cynisme, humour, tristesse et poésie, Symptômes a de quoi réchauffer bien des cœurs cet hiver.
On comprendra que Symptômes ne se présente pas vraiment comme une histoire suivie, mais le livre n’en garde pas moins une cohérence, une unité qui laisse une impression de douceur, un confort de lecture certain. L’album s’offre un peu à la manière d’une courtepointe: chaque élément qui le compose tire force et sens de ses voisins.
C’est une belle BD sur ce qui nous affecte et ce qui nous guérit. Une œuvre poétique où l’autrice voit les liens qui nous unissent comme des fils qui peuvent s’emmêler ou être réconfortants.
Un livre qui respire, qui émeut, qui fait sourire et qui saura apaiser, ne serait-ce que pour un temps, l’inépuisable grondement des anguilles de l’angoisse.
Sans ambages, et avec une remarquable fluidité, Symptômes met en mots et en images une sensation autrement difficile à raconter: le réconfort d’être enfin vu·e et entendu·e.
Avec un dessin qui rappelle celui de Liv Strömquist, une mise en couleur délicate et un trait pointillé qui semble brodé, Catherine Ocelot traite son sujet avec douceur et poésie. Elle extrait des moments de vie pour en faire un patchwork où s’insèrent des pauses oniriques et de grandes compositions végétales, formant comme un tableau pointilliste.
C’est traversé par un certains nombre de métaphores tout à fait réjouissantes, vraiment belles, des moments de poésie esthétique, graphique, qui sont puissants. La justesse de ton de cette œuvre est tout à fait renversante.
Soutenu par un dessin au stylo bille d’une grande finesse et des couleurs vives, le propos de Catherine Ocelot résonne en nous, se fraye un chemin dans notre esprit. Que ce soit à travers les anecdotes personnelles de l’autrice ou le vécu des femmes qui composent son groupe de soutien contre la solitude, Symptômes nous parle, nous touche, nous fait rire, nous interroge.
La lecture de Symptômes demande une certaine lenteur. À l’instar des oeuvres précédentes d’Ocelot, des constats existentiels et de profonds questionnements traversent l’œuvre et nous invitent à faire une pause, à réfléchir. Ocelot a cette facilité de passer du drôle au tragique, sans pousser la note et sans que l’arrimage des deux ne soit artificiel.