Description
« La première fois où j’ai eu le goût de mourir, j’avais genre euh 12 ans ? Mais ça compte pas, ça compte pas celle-là. » Entre un emploi qui lui prend tout son temps et une dépression qui la paralyse, Clara est incapable de terminer le recueil de poésie sur lequel elle travaille. Ses amies tentent de l’aider. Mais ce n’est pas toujours simple de s’ouvrir aux autres et d’expliquer ce que c’est, ce vide qui remplit tout. C’est comme ça que je disparais est le premier récit de fiction signé par Mirion Malle.
Prix et mentions
- Finaliste Joe Shuster Awards 2021 – Cartoonist
- Finaliste – Prix Bédélys Québec 2021
- Liste préliminaire – Prix des libraires du Québec 2021 – Bande dessinée Québec
- Finaliste – Prix BD des collégiens 2020
- Finaliste – Prix de la critique ACBD de la bande dessinée québécoise
- BD la plus vendue dans les librairies indépendantes le 12 août 2020 (source : BTLF)
- Coup de cœur Renaud-Bray
Juste beaucoup d’authenticité, de pudeur et de style. L’écriture est fine et l’imaginaire visuel, resplendissant. Bref, vous ne devez pas louper ce petit bijou…
— Clément Aubrun, Terrafemina ,
C’est comme ça que je disparais, une longue bande dessinée qui décortique avec une sensibilité rare les mécanismes complexes de la dépression. […] Avec son trait en noir et blanc précis, Mirion Malle retranscrit chacun des états émotionnels complexes de son héroïne.
— Pauline Le Gall, ChEEk Magazine ,
★★★★
Le livre est d’une vraie modernité dans les événements narrés, s’appuyant notamment sur des publications sur les réseaux sociaux comme ressorts narratifs, sans faire de cette idée un simple gadget à la mode. […] convaincant et touchant.
— Benjamin Roure, BoDoï ,
Pour son premier récit de fiction, Mirion Malle nous offre une BD d’une grande justesse sur un mal insidieux qui isole trop souvent ceux qui en souffrent.
— Stéphanie Morin, La Presse ,
★★★★ Le dessin de Mirion Malle véhicule à merveille les émotions contradictoires de son héroïne, Clara, qui n’a plus vraiment envie de vivre.
— Sarah Boumedda, Le Devoir ,
Une fiction qui, avec une adresse déconcertante, décortique la dépression. […] D’un trait simple noir, clair et évocateur, cette BD fera assurément œuvre utile en raison du sujet abordé.
— Josée-Anne Paradis, Les libraires ,
[M]algré la gravité du sujet, tout ce mal-être est présenté d’une manière très délicate. Eh oui, on peut traiter de la maladie mentale d’une manière convaincante et sensible dans une bande dessinée! Les dessins de Mirion Malle, d’un style épuré et simple, réussissent en peu de traits à capter la détresse ressentie par Clara, allant jusqu’à supprimer les traits et expressions de son visage.
— Marise Belletête, La griffonneuse ,
★★★★ La fine ligne noire de l’artiste convoque et détourne les codes de la délicatesse, comme pour illustrer une myriade d’interprétations de nos états sensibles, de nos relations, de nos identités. […] Avec C’est comme ça que je disparais, Mirion Malle prouve que l’écriture peut bénéficier de l’empathie.
— Virginie Fournier, Lettre québécoises ,
Un ouvrage pudique et touchant, qui sonne juste, et dans l’air du temps. Notre coup de cœur de la rentrée.
— Lucie Laumonier, Bible urbaine ,
Coup de cœur pour les dialogues de Mirion Malle. Découvrez ce livre!
— Simon Boulerice, Cette année-là, Télé-Québec ,